| Titre : | La Rance : du Mené au Grand Bé ; la descente d'un promeneur accompagné | | Type de document : | texte imprimé | | Auteurs : | Émile Morin (1929-2020), Auteur | | Importance : | 1 vol. (215 p.) | | Présentation : | ill. | | Format : | 24 cm | | ISBN/ISSN/EAN : | 978-2-906064-74-4 | | Prix : | 20 EUR | | Note générale : | Bibliogr. p. 207-208. Webliogr. p. 209 | | Langues : | Français (fre) | | Mots-clés : | Rance (Côtes-d'Armor-Ille-et-Vilaine cours d'eau) Rance, Estuaire de la (Côtes-d'Armor-Ille-et-Vilaine) | | Index. décimale : | 914.41 | | Résumé : | La Rance et l'auteur entretiennent une liaison depuis l'enfance. Ils écoulent une existence comparable sous les étoiles. Descendre le fleuve côtier, le plus souvent accompagné, de ses affleurements dans les collines du Mené jusqu'à la tombe de Chateaubriand, plutôt que de le remonter, dévoile une conception de la vie. Douze étapes de leur itinéraire, d'une enfance rurale jusqu'à la dissémination océanique, en passant par leur urbanisation, leur ria maritime, exposent une secrète harmonie. Si les coups de cur pour les plus séduisants vestiges du passé, récits ou édifices, ne manquent pas, l'amateur de fleuve croise au long de sa flânerie les mille délices, industries et soucis du présent. Le vrai marin rêve d'être pris par la mer. Le varappeur, de vaincre le roc. L'auteur se plaît ici sur la rive, comme sur la côte, fasciné par la différence et la complicité entre deux états de la matière. Le courant fraye son chemin à travers l'aspérité de sols variés. Contraste ensorcelant du socle qui sustente et du flux qui file. |
La Rance [texte imprimé] : du Mené au Grand Bé ; la descente d'un promeneur accompagné / Émile Morin (1929-2020), Auteur . - [s.d.] . - 1 vol. (215 p.) : ill. ; 24 cm. ISBN : 978-2-906064-74-4 : 20 EUR Bibliogr. p. 207-208. Webliogr. p. 209 Langues : Français ( fre) | Mots-clés : | Rance (Côtes-d'Armor-Ille-et-Vilaine cours d'eau) Rance, Estuaire de la (Côtes-d'Armor-Ille-et-Vilaine) | | Index. décimale : | 914.41 | | Résumé : | La Rance et l'auteur entretiennent une liaison depuis l'enfance. Ils écoulent une existence comparable sous les étoiles. Descendre le fleuve côtier, le plus souvent accompagné, de ses affleurements dans les collines du Mené jusqu'à la tombe de Chateaubriand, plutôt que de le remonter, dévoile une conception de la vie. Douze étapes de leur itinéraire, d'une enfance rurale jusqu'à la dissémination océanique, en passant par leur urbanisation, leur ria maritime, exposent une secrète harmonie. Si les coups de cur pour les plus séduisants vestiges du passé, récits ou édifices, ne manquent pas, l'amateur de fleuve croise au long de sa flânerie les mille délices, industries et soucis du présent. Le vrai marin rêve d'être pris par la mer. Le varappeur, de vaincre le roc. L'auteur se plaît ici sur la rive, comme sur la côte, fasciné par la différence et la complicité entre deux états de la matière. Le courant fraye son chemin à travers l'aspérité de sols variés. Contraste ensorcelant du socle qui sustente et du flux qui file. |
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